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Cendrillon (Ermanno Wolf-Ferrari), création française, Colmar, Strasbourg, Opéra national du Rhin, décembre 2015 - janvier 2016

Stimulés par la baguette de Vincent Monteil, les élèves de l’Académie supérieure de musique et du Conservatoire de Strasbourg défendent, avec autant d’enthousiasme que de compétence, cette partition réécrite, où ils sont souvent à découvert. Presque tous membres de l’Opéra Studio de l’OnR, les chanteurs, quant à eux, s’en sortent bien.
Jean-Luc Macia, Opéra Magazine, février 2016

Un succès à Strasbourg dans la nouvelle adaptation en français mise au point par la jeune compagnie de l’Opéra national du Rhin que dirige Vincent Monteil. La partition originale mastodonte est condensée à un peu plus d’une heure et réduite pour un petit ensemble d’étudiants du Conservatoire de Strasbourg, mais demeurent la fraicheur d’inspiration et la luxuriante veine mélodique hors du temps, qui caractérisent la figure la plus authentique du compositeur vénitien […] L’ensemble des chanteurs est à couvrir d’éloges en bloc pour le travail parfait d’équipe et pour un résultat musical dans l’ensemble plus que satisfaisant.
Stefano Nardelli, Giornale della musica, 21 janvier 2016

Vincent Monteil dirige la partition réduite et remaniée avec allant et probité à la tête d’un orchestre composé de jeunes du Conservatoire.
Jérôme Pesqué, ODB-Opéra, 11 janvier 2016

Dans une adaptation française de Vincent Monteil, directeur de l’Opéra Studio, la première française vient d’être donnée à Colmar […] Une excellente équipe d’interprètes : Les jeunes interprètes attestent de l’excellence du travail du Studio […] Vincent Monteil dirige avec vitalité l’Ensemble orchestral de l’Académie supérieure de musique et du Conservatoire de Strasbourg.
Bruno Serrou, La Croix, 10 janvier 2016

L’orchestre et la direction de Vincent Monteil laisse entendre une belle conviction et un bel investissement de la part de ces artistes.
Elodie Martinez, Toute la Culture, 21 décembre 2015

Une fois de plus à l’Opéra Studio, il convient de louer l’esprit de troupe avec lequel les jeunes chanteurs s’investissent dans le spectacle qui leur est proposé […] Vincent Monteil (Directeur musical de l’Opéra Studio de Colmar) mène l’Ensemble orchestral de l’Académie supérieure de musique et du Conservatoire. Relief, élan, sens des atmosphères, soin apporté à une écriture souvent très « serrée » et complexe : les jeunes instrumentistes et leur chef apportent une contribution de taille au succès d’un spectacle que l’on retrouvera en janvier à Strasbourg puis à Mulhouse.
Alain Cochard, Concert Classic, 21 décembre 2015

L’Ensemble orchestral de l’Académie de musique et du Conservatoire l’a défendue avec talent sous la direction précise de Vincent Monteil.
Jacques Weil, L’Alsace, 20 décembre 2015

Vincent Monteil, également auteur de la traduction, dirige comme toujours avec beaucoup de conviction l’Ensemble orchestral de l’Académie de musique et du Conservatoire.
Laurent Bury, Forum Opéra, 18 décembre 2015

Les étudiants de l'Académie supérieure de musique et du Conservatoire sous la direction de Vincent Monteil, qui a également réalisé l'adaptation, accomplissent leur tâche de façon très, très soignée.
Alexander Dick, Badische Zeitung, 18 décembre 2015

L’Opéra Studio de l’Opéra national du Rhin, sous l’impulsion de son directeur musical Vincent Monteil, qui, comme chaque année à pareille époque, propose un spectacle pouvant être vu en famille, a porté son dévolu sur le premier des opéras de Wolf-Ferrari à avoir été porté à la scène, Cenerentola […] C’est dans une adaptation en français réalisée par Vincent Monteil, qui concentre le conte en soixante-quinze minutes, et avec un orchestre en formation réduite que l’Opéra Studio de l’Opéra du Rhin a choisi de donner la création française de cet ouvrage […] Les jeunes interprètes - chanteurs et instrumentistes - forment une troupe homogène et convaincante, tant ils jouent tous avec conviction […] Dans la fosse, Vincent Monteil dirige avec allant ses jeunes instrumentistes du Conservatoire de Strasbourg et de l’Académie supérieure de musique de Strasbourg-Hear qui constituent l’Ensemble orchestral de l’Académie supérieure de musique et du conservatoire.
Bruno Serrou, Classique d’aujourd’hui, 17 décembre 2015

Concert Mozart avec l’Orchestre Lamoureux, Théâtre National Algérien Mahieddine Bachtarzi, Festival Culturel International de Musique Symphonique d’Alger, 14 septembre 2015 à Alger, Ouverture de Bastien et Bastienne, 3e Concerto pour violon (Hugues Borsarello), Symphonie n° 25

Dernier ensemble à se produire sur la scène du TNA, l’"Orchestre Lamoureux", venu de France sous la direction de Vincent Monteil, qui a choisi de rendre hommage à Wolfgang Amadeus Mozart. La prestation française, empreinte de précision et de rigueur académique a permis à l’assistance -qui a apprécié le rendu des trois formations- de redécouvrir le génie créatif du compositeur autrichien et d’en mesurer la beauté et l’ampleur.
Algérie Presse Service, 15 septembre 2015

La Belle au Bois-Dormant (Ottorino Respighi) création française, Colmar, Strasbourg, Opéra national du Rhin, décembre 2014 - janvier 2015

Dans la fosse, Vincent Monteil, directeur musical de l’Opéra Studio, donne de la partition une lecture scintillante à la tête de l’Orchestre Philharmonique de Strasbourg.
Bruno Serrou, La Croix, 18 janvier 2015

Dans la fosse, Vincent Monteil, directeur musical de l’Opéra Studio, donne de la partition une lecture luxuriante à la tête de l’Orchestre Philharmonique de Strasbourg.
Bruno Serrou, Classique d’aujourd’hui, 13 janvier 2015

Remarquable direction musicale de Vincent Monteil. Le petit orchestre avec des instruments à l’unité sonne remarquablement.
Pierre Benveniste, ODB-Opéra, 6 janvier 2015

Vincent Monteil, qui a assuré la réduction de la partition, et qui a traduit le texte original italien, sait faire ressortir toutes les beautés de cette musique raffinée, à la tête de l’Orchestre philharmonique de Strasbourg
Laurent Bury, Forum Opéra, 6 Janvier 2015

Et sûr au pupitre à la tête des musiciens de l’OPS, Vincent Monteil est tout à son affaire pour rendre lisible le conte de La Belle au Bois dormant et le faire aimer
Marc Munch, Dernières Nouvelles d’Alsace, 6 janvier 2015

A la baguette de l’Orchestre philharmonique de Strasbourg en formation réduite, Vincent Monteil a mis en lumière la richesse d’une partition exigeante, notamment pour les vents et les percussions. La verve souriante, la tendresse rêveuse et parfois bucolique, le drame dans les maléfices de la fée noire se sont exprimés avec justesse et précision.
Jacques Weil, L’Alsace, 24 décembre 2014

A la tête de musiciens issus de l’Orchestre philharmonique de Strasbourg, Vincent Monteil fait corps avec sensibilité et vie aux contrastes de la partition et aux oniriques mouvements de la mise en scène.
Alain Cochard, Concert Classic, décembre 2014

Les Faux-Monnayeurs (Pierre Thilloy) création mondiale, Montepulciano, Teatro Poliziano, 24 juillet 2014

La direction musicale de Vincent Monteil est precise et sure; la sonorité de l’Ensemble Kords est parfaite, tandis que les protagonistes vocaux sont bien preparés.
Roberto del Nista, L’Opera, septembre 2014

Reste la musique étonnamment séductrice et versatile, joueuse, aérienne, dirigée avec grâce et précision par Vincent Monteil.
Élisabeth Schneiter, Resmusica, 27 juillet 2014

Ainsi soit-il (Pierre Thilloy) Montepulciano, Sala Bellarmino, 22 juillet 2014

Affolement tempestueux des cordes qui font enfler la houle profonde des phrases musicales, grondent et tournoient, et emportent l’assistance au gré de vagues insistantes. Le chef Vincent Monteil tient ferme la barre, en une suite de gestes légers et précis.
Élisabeth Schneiter, Resmusica, 27 juillet 2014

Blanche-Neige (Marius Felix Lange) Paris, Théâtre de l’Athénée, du 20 au 26 avril 2013

Brillamment dirigé par Vincent Monteil, directeur musical de l’Opéra Studio de l’Opéra national du Rhin, l'Orchestre Lamoureux en effectif réduit, renforce l’enchantement.
Bruno Serou, Classique d’aujourd’hui, 23 avril 2013

Vincent Monteil, à la tête d’un orchestre Lamoureux attentif, dirige une partition finement orchestrée.
Philippe Venturini, Les Echos, 22 avril 2013

A côté des forces homogènes de l’Opéra Studio, saluons la direction attentive de Vincent Monteil et la concentration des forces de l’orchestre Lamoureux.
Jean-Christophe Le Toquin, ResMusica, 23 avril 2013

La troupe de l’Opéra national du Rhin est accompagnée par treize musiciens (le nombre magique ?) de l’Orchestre Lamoureux. La direction de Vincent Monteil est bonne et l’ensemble instrumental est solide.
Vincent Guillemin, Anaclase, 26 avril 2013

Au pupitre Vincent Monteil, directeur musical de l’Opéra Studio dirige ici les musiciens de l’Orchestre Lamoureux avec le brio et tous les sortilèges d’un conte immortel.
Caroline Alexander, WebThea, 24 avril 2013

Dans la fosse, belle interprétation de L’Orchestre Lamoureux dirigé par Vincent Monteil.
Hélène Kuttner, Pariscope/Première, 27 avril 2013

Une réussite portée par la battue très vivante de Vincent Monteil (le directeur musical de l’Opéra Studio) à la tête d’un groupe de musiciens issus de l’Orchestre Lamoureux.
Alain Cochard, ConcertClassic, 23 avril 2013

La musique de Lange, plutôt enlevée, bien chantée, bien dirigée par Vincent Monteil à la tête de l’Orchestre Lamoureux en formation réduite.
François Lafon, Musikzen, 21 avril 2013

Blanche-Neige (Marius Felix Lange) création française Opéra national du Rhin, du 20 décembre 2012 au 26 janvier 2013

Vincent Monteil dirige le Philharmonique de Strasbourg avec competence et amour.
Thierry Guyenne, Opéra Magazine, janvier 2013

Vincent Monteil, qui dirige l’Orchestre philharmonique de Strasbourg, s’est employé avec succès à traduire en sons cette féérie musicale. Dans les pages instrumentales (la musique funèbre accompagnant la –fausse- mort de l’héroïne, ou la scène de l’errance dans la forêt) la phalange strasbourgeoise a fait la démonstration de sa verve colorée.
Jacques Weil, l’Alsace, 27 décembre 2012

Soirée Offenbach Montréal, Festival Opéra de Saint-Eustache, 24 juillet 2010

Les solistes, chœur et orchestre étaient conduits avec clarté, exubérance et cœur sous la baguette du chef d’orchestre français Vincent Monteil.
Roberta Campbell, louisvillemusicnews.net, juillet 2010

Neuvième Symphonie (Beethoven) Paris, La Trinité, Orchestre Colonne, 7 mai 2010

Vincent Monteil anime le Finale avec un beau sens dramatique.
Simon Corley, ConcertoNet, mai 2010

Aladin et la lampe merveilleuse (Rota) création française Opéra national du Rhin, du 17 décembre 2009 au 12 mars 2010

L’ensemble instrumental formé par des élèves du Conservatoire National de Région de Strasbourg est également excellent. Ces jeunes musiciens montrent déjà un professionnalisme étonnant, car jouer en fosse n’est en rien similaire à jouer en symphonique. L’extrême attention qui doit être portée au chef et aux chanteurs nécessite une réactivité et une faculté d’adaptation importantes que ces musiciens ont acquises avec maestria. Il faut aussi louer leur chef, Vincent Monteil, qui sait les guider à la perfection et faire superbement sonner ce petit ensemble d’une vingtaine de musiciens.
Pierre-Emmanuel Lephay, Forum Opéra, 17 mars 2010

Dans la fosse, la baguette de Vincent Monteil, le patron de l’Opéra Studio, se révèle parfaitement en phase avce la conception très fluide de Waut Koeken. Elle distille avec autant de vivacité que de poésie la partition de Nino Rota.
Alain Cochard, Concert Classic, décembre 2009

La musique de Nino Rota est servie avec verve et netteté par l’ensemble orchestral du Conservatoire de Strasbourg sous la vive direction de Vincent Monteil
Christian Fruchart, Dernières Nouvelles d’Alsace, 19 décembre 2009

A la tête d’un petit ensemble d’instrumentistes issus du Conservatoire de Strasbourg, Vincent monteil assure une lecture énergique et joyeuse.
Jean-Marc Proust, Opéra Magazine, février 2010

Der Schauspieldirektor (Mozart) / The Music Shop (Wargo) Opéra national du Rhin, du 28 février au 14 avril 2007

Dirigé avec élégance par Vincent Monteil, l’Orchestre Symphonique de Mulhouse se montre aussi à l’aise chez Mozart que chez Wargo.
Bruno Villien, Opéra Magazine, avril 2007

Un orchestre brillant et précis.
L’Orchestre Symphonique de Mulhouse, dirigé par Vincent Monteil a été emporté par le même dynamisme, notamment dans la pétillante ouverture. Renforcé pour The Music Shop, il a gagné en ampleur (remarquables percussions !), tout en gardant sa transparence et son éclat.
Les ensembles impeccablement réglés malgré leur complexité ont alterné avec des morceaux de bravoure parodiques brillamment enlevés.
Jacques Weil, L’Alsace, 4 mars 2007

La musique de Mozart, arrivant enfin, remet les Jeunes Voix dans leur élément, malgré ses diaboliques difficultés, bien négociées par l’Orchestre Symphonique de Mulhouse sous la conduite de Vincent Monteil.
L’Orchestre de Mulhouse, précis et coloré, mène le jeu musical sans le moindre fléchissement.
Christian Fruchart, Dernières Nouvelles d’Alsace, 2 mars 2007

La grande duchesse de Gérolstein Opéra de Nice, du 18 au 24 mars 2005

L’orchestre Philharmonique de Nice a montré sous la baguette énergique de Vincent Monteil une très belle allure conférant à la farce militaire avec le débridé nécessaire pour que paraisse le délire caricatural conçu par les auteurs.
Alexandre Pham, www.resmusica.com, 30 mars 2005)

Béatrice et Bénédict Opéra de Prague,  du 11 décembre 2003 au 28 janvier 2004
      
Vincent Monteil a prouvé par sa conception qu'il est un interprète rare et fin connaisseur de la partition de Berlioz, qu'il rend avec beaucoup de légèreté.
Le spectacle, grâce à lui a, du point de vue de la musique, la fluidité nécessaire. (On notera tout particulièrement le premier duo Béatrice et  Bénédict et l'air de Béatrice).
Daniel Jäger, www.scena.cz, 4 janvier 2004

Il faut retenir de ce spectacle la légèreté de l'interprétation musicale et l'excellent travail de préparation musicale. Le chef Vincent Monteil a fait un travail remarquable avec les chanteurs.
Svatava Barancicova, Time In Praha 20, Janvier 2004

 La Chauve-souris, Opéra de Nice, du 25 au 31 décembre 2003

Pour faire pétiller cette délicieuse coupe de champagne, et donner du rythme à la cocasserie, aux rebondissements et aux imbroglios qui se succèdent à vive allure, Vincent Monteil, un chef d’orchestre qui excelle dans ce répertoire, dirige un Philharmonique de Nice au mieux de sa forme.
Marie-Claire, décembre 2003

Au pupitre, Vincent Monteil donna aux valses la légèreté d’une crème chantilly et à la partition un vertige réjouissant.
Christian Colombeau, www.forumopera.com, 19 janvier 2004

Faust, Opéra de Szeged retransmission TV sur Mezzo en novembre 2003
      
…le jeune chef français, Vincent Monteil, disciple de Michel Plasson est un grand connaisseur de la musique française. Cette nouvelle présentation de Faust était l’un des événements artistiques majeurs de cette année musicale à Szeged.
Mezzo, novembre 2003

 Vincent Monteil dirige « comme un dieu », l'élève dépasse le maître Plasson, plus de rythme, de nerf, d'épanchements lyriques aux bons moments !
Claude Michel, classique-fr, novembre 2003

Concerts des 6 et 7 décembre 2002 à l'Opéra de Nice
Le festin de l’araignée (Albert Roussel)
Tzigane (Maurice Ravel)
La Péri (Paul Dukas)

Le Philharmonique de Nice brilla sous la direction de Vincent Monteil, en particulier dans « La Péri ». Le jeune chef célébrait vendredi son départ après plusieurs années de présence à l’opéra.
L’admiration et l’amitié dont le public lui fit preuve sont deux gages de succès pour la suite de sa carrière. Jacques de Rocca Serra, conseiller municipal, lui remit vendredi la médaille de la ville.
André Peyrègne, Nice Matin, 8 décembre 2002

 Orphée aux Enfers, Opéra de Nice, mars 2002

       La très belle direction de Vincent Monteil tire Offenbach vers le classicisme, sans renier l'hédonisme ; c'est cette forme de direction qui permet de mettre en évidence les beautés intrinsèques de la partition tout en la mettant au service du théâtre.
Didier Roumilhac, Opérette, 15 avril 2002

       Côté musique, c’est au Philharmonique de Nice sous la direction de Vincent Monteil que doivent aller les premiers bravos.
André Peyrègne, Nice Matin, 18 mars 2002

       Vincent Monteil dirigeait avec le brio requis l’Orchestre Philharmonique de Nice.
Christian Jarniat, La Tribune, 22 mars 2002

Récital avec Norah Amsellem, Opéra de Nice, 5 octobre 2001

       La soprano remarquablement accompagnée par Vincent Monteil…
Le Petit Niçois – Le Cannois, octobre 2001

Ariane et Barbe-Bleue, Opéra d’Etat de Prague, juin 2001

       L’opéra Ariane et Barbe-Bleue de Paul Dukas, compositeur français, est retourné à l’Opéra d’Etat de Prague après 76 ans. Cette fois-ci il est présenté par une équipe des réalisateurs français. Il faut dire qu’il s’agit d’un retour triomphal ... l’orchestre sous la baguette de Vincent Monteil exprime toute la couleur opalescente et le drame de la partition de Dukas.
Jitka Slavíková, Zemedelské Noviny, 12 juin 2001

       La saison achevée par un trésor lyrique. L'Opéra d’Etat de Prague avait choisi une œuvre inconnue Ariane et Barbe-Bleue de Paul Dukas, compositeur un peu oublié en Bohême, il avait invité des réalisateurs francophones et un trésor est sorti ... En travaillant avec l'orchestre et avec les chanteurs, Vincent Monteil, chef d’orchestre français, a fait beaucoup pour atteindre cette expression.
Petr Veber, Hospodárské Noviny, 11 juin 2001

       Sous la baguette de Vincent Monteil, dont la direction a inspiré les solistes et l’orchestre à un exploit concentré du style précis avec une instrumentation pleine de couleurs. En général la réalisation d’Ariane et Barbe-Bleue de Dukas est devenu, pareillement à Robert le Diable, un événement ouvrant au public tchèque les ouvrages principaux de l’opéra français dans une conception d’interprétation excellente.
Helena Havlíková, Lidové noviny, 6 juin 2001

       L’ouverture au 3ème acte était une des parties les plus impressionnantes.
Radmila Hrdinová, Právo, 4 juin 2001

 Les mousquetaires au couvent, Opéra de Nice, avril 2001

       A la tête de l'Orchestre Philharmonique de Nice, Vincent Monteil s'est signalé par la précision et le punch de sa direction, et a montré que ce répertoire léger n'est pas indigne des grandes formations.
Philippe Thanh, La lettre du Musicien, mai 2001

       Les musiciens du philharmonique ont apporté leur bonne humeur sous la direction de Vincent Monteil.
Christian Jarniat, Tribune Côte d'Azur, 4 mai 2001

       Vincent Monteil transmet sa bonne humeur à l'orchestre et au chœur.
André Peyrègne, Nice Matin, 22 avril 2001

 Roméo et Juliette, ballet de Prokofiev, Opéra de Nice, mars 2001

       Le dernier bon point de cette soirée est à mettre au crédit de Vincent Monteil et de l'orchestre philharmonique de Nice qui ne se contentent pas d'accompagner le corps de ballet et nous gratifient d'une interprétation forte et romantique qui a grandement contribué à faire naître l'émotion !
Yves Courmes, L'avenir côte d'azur, 31 mars 2001

 Disque Kosma sorti en décembre 2000

       Sous la direction de Vincent Monteil, l'Orchestre Philharmonique de Nice, les chœurs et les solistes apportent à ces pages la vérité poétique qui est leur raison d'être. Car il ne s'agissait pas ici de briller ni d'étonner, mais de trouver le ton juste, ce qui a été réalisé avec bonheur.
Jean Roy, Le Monde de la Musique, décembre 2000

       Interprétation sans apprêt et de bon aloi des forces niçoises.
Michel Parouty, Diapason, décembre 2000

  Belle sonorité, direction efficace et sensible. Félicitations chaleureuses pour l'interprétation du Rendez-vous : émotion par le climat, les tempi et les inflexions.
Janine Enoch, éditeur de Kosma

 Concerts des 20 et 21 octobre 2000 à l'Opéra de Nice
Symphonie en ré mineur (César Franck)
Trois petites Liturgies de la Présence Divine (Olivier Messiaen)

       Ces œuvres seront dirigées par le jeune chef d'orchestre adjoint du Philharmonique de Nice, Vincent Monteil, dont on a apprécié l'autorité de la direction dans Carmina Burana il y a trois semaines au Festival du Jeune Soliste d'Antibes.
Nice-Matin, 18 octobre 2000

       Vincent Monteil conduisit d'une main ferme et déterminée l'orchestre, dans les méandres romantiques de la symphonie. Il se dégagea une grande et belle atmosphère.
André Peyrègne, Nice-Matin, 23 octobre 2000

 Carmina Burana Festival du Jeune Soliste d'Antibes, 28 septembre 2000

       Carmina Burana : le triomphe !
Le jeune chef Vincent Monteil prenait la mesure de cette masse sonore et chorale et la maîtrisait avec talent, chaque élément tirant sous son habile direction, le maximum de la partition.
L'orchestre sonna superbement …
Ne boudons pas le plaisir de dire que cette interprétation remporta un triomphe justifié, la salle se chargeant de faire savoir par ses applaudissements et un bis réclamé que cela lui avait plu.
Philippe Depetris, Nice-Matin, 2 octobre 2000

 Concert de gala avec Alain Fondary, Nadine Denize, Chœur et Orchestre Philharmonique de Nice, Cagnes sur Mer, 19 juillet 2000

       Il fallait trouver le ton juste pour passer du Trouvère à Don Carlo puis à Faust, proposés en sélections et adaptés à la grandeur du lieu et à ses contraintes.
Le chef Vincent Monteil se montra à la hauteur de cette tâche et les airs et chœurs qui se sont succédé tout au long de cette soirée furent très applaudis.
Philippe Depetris, Nice-Matin, 19 juillet 2000

 La Serva padrona, Opéra de Nice, 14 mai 2000

       On peut être fier de notre jeune équipe de l'Opéra de Nice … l'orchestre fut efficacement dirigé par le jeune chef Vincent Monteil. La somme de tous ces talents a fait l'incontestable réussite du spectacle !
André Peyrègne, Nice-Matin, 16 mai 2000

 Robert le Diable, Opéra d’Etat de Prague, décembre 1999

       …le chef d'orchestre Vincent Monteil présente Robert le Diable dans toute sa richesse dramatique et sa beauté sonore. […]
… un deuxième aspect dominant fut, lors de la première, les performances mélodiques du quatuor des protagonistes, tandis que le troisième aspect résidait dans la précision du son de l'orchestre sous la direction du chef français, car celui-ci excella tant dans la retranscription de la sensibilité de Meyerbeer pour l'utilisation fonctionnelle des divers moyens de composition et du caractère mélodieux des solos que dans l'aspect chamarré de la sonorité de la partition et de la sobriété d'une instrumentation efficace.
Halo Noviny, 17 décembre 1999

       Le chef d'orchestre Vincent Monteil est parvenu à transmettre les contrastes dynamiques de tempo et de couleurs de la partition […].
Lors du modelage musical de l'archétype du duel des puissances infernales et célestes pour s'approprier l'âme humaine, il fit également bien sentir, à côté d'une intimité de chambre lyrique, la splendeur du pathos monumental et, à côté du caractère épouvantable et démoniaque, il parvint à représenter une majesté angélique.
Lidove Noviny, 28 décembre 1999

       L'Opéra National de Prague a invité une équipe française - le chef d'orchestre Vincent Monteil, le metteur en scène Gilbert Blin et le scénographe Nicolas de Lajartre - à réaliser la mise en scène de ce "grand opéra" français et le résultat a démontré qu'il s'est agi d'un choix réussi. […]
L'orchestre, sous la baguette de Vincent Monteil, et le chœur sous la direction de Pavel Pokorny ont contribué à l'impression d'ensemble favorable retirée de la mise en scène de Robert le Diable.
Pravo, 28 décembre 1999

       Vincent Monteil dirige l'œuvre parfaitement. Il a pris soin de la meilleure des façons de l'orchestre, du chœur et des solistes.
Der Neue Merker, janvier 2000

       L'orchestre a joué de manière sûre et le chef a réussi à en régler non seulement la sonorité mais à l'"assourdir" d'une manière remarquable rehaussant de la sorte les voix chantées.
Divadelni Noviny

       Dear Maestro Monteil.
Meyerbeer Fan Club wishes you all the best! Congratulations are in order! We have received wonderful reports from Prague concerning the production of Robert le Diable, and we are urging all of our members to see it.
Thank you on behalf of all fans of Meyerbeer.
Lettre du Meyerbeer Fan Club